Tous les petits trésors que nous nous appliquons à vous faire découvrir ici, certains les emmènent avec eux au bout du monde. Et ça, ça nous intéresse. Ainsi, nous avons décidé de dresser dans chaque numéro le portrait d’un de nos plus fiers ambassadeurs par-delà les rivières, les mers et les océans…
Et traverser les océans, la Team 247 aime bien ça. C’est outre-Atlantique que nous avons choisi de vous emmener pour notre tout premier portrait, celui de Jeff Harding, sommelier au restaurant Le Waverly Inn, une table newyorkaise où dînent stars de cinéma entre autres grands de ce monde.
247 : Jeff, à votre avis, pourquoi vous a-t-on choisi pour être notre premier Ambassadeur 247 ?
Jeff : Parce-que je suis littéralement tombé amoureux du vignoble Bergeracois lors de ma visite à l’automne 2015. Je suis toujours pour l’outsider, et j’ai commencé à envoyer un petit mot aux personnes de Bergerac qui m’avaient accueilli à chaque fois que je voyais une bouteille de chez eux quelque part à New York.
247 : Ce fut un véritable coup de foudre alors…
Jeff : Professionnellement, tout à fait : ces vins remplissent toutes les conditions pour être sur ma carte. Je vendais déjà le Château Laulerie avant ce voyage, et lorsque j’y ai rencontré Marine Dubard, elle m’a fait la remarque suivante : « Regardez, nous vivons au milieu de nos vignes. Nous utilisons aussi peu de traitements que possible, vous comprenez ? ». C’était évident. Une nature préservée puisque les producteurs y vivent… ce n’est plus le cas partout aujourd’hui, et cela m’a séduit.
247 : Avez-vous eu la chance de goûter à l’une de nos spécialités, les vins liquoreux ?
Jeff : J’ai même eu la chance d’être jury au Concours de Monbazillac cette année ! Mais J’ADORE une autre appellation de ce style, moins connue : Saussignac. Je sers celui du Château Le Payral au verre dans mon restaurant : c’est meilleur et bien plus intéressant que la plupart des vins liquoreux dans cette gamme de prix.
247 : Un dernier mot pour décrire votre expérience 247 à ceux qui hésitent encore à venir ?
Jeff : C’est l’une des régions au monde que je préfère, où le monde moderne rencontre les vieilles pierres… Avec un aéroport à Bergerac, en étant tout près de Bordeaux, la logistique est facile. Et on y vit sur les bords verdoyants de la Dordogne où les couchers de soleil sont FABULEUX et les tables… de haute volée gastronomique. Une telle sophistication m’a soufflé, que ce soit au restaurant ou chez l’habitant. Quant à la chambre d’hôte où j’ai dormi à Bergerac, le Clos d’Argenson, elle satisferait même le plus difficile des newyorkais !
Et ce n’est pas peu dire !